
Shemsou Hor
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Proclus, appelle « Atlantins » ceux visés par le Timée et les distingue, par-là, des « Atlantes Ethiopiens ».
Or, quand ils parlent de ces derniers, Hérodote et Pline, disent, qu’ils descendraient des « Atlantides ».
On voit, ainsi, que les Pré-dynastiques d’Egypte - ou les anciens Ethiopiens - dénommés « Atlantes », descendaient de l’Atlantide.
C’est en effet, par l’Atlantide que, pendant plus de 20 millénaires, avait passé la voie des migrations par l’Ouest qui, partie de l’Est de l’île proche des côtes africaines, puis traversant la mer gagnait Abydos, puis la Nubie (Méroe), par le cap Soloëis (cap Juby) et les Oasis actuel.
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SHEMSOU HOR - L’ATLANTIDE EN EGYPTE Selon Diodore, les populations fixées en Ethiopie, s’appelaient « Atlantes ».
Proclus, appelle « Atlantins » ceux visés par le Timée et les distingue, par-là, des « Atlantes Ethiopiens ».
Or, quand ils parlent de ces derniers, Hérodote et Pline, disent, qu’ils descendraient des « Atlantides ».
On voit, ainsi, que les Pré-dynastiques d’Egypte - ou les anciens Ethiopiens - dénommés « Atlantes », descendaient de l’Atlantide.
C’est en effet, par l’Atlantide que, pendant plus de 20 millénaires, avait passé la voie des migrations par l’Ouest qui, partie de l’Est de l’île proche des côtes africaines, puis traversant la mer gagnait Abydos, puis la Nubie (Méroe), par le cap Soloëis (cap Juby) et les Oasis actuel.
Cette longue route, jalonnée par les innombrables peintures rupestres pullulant tout au long du Nord Sahara et aussi par d’abondants troupeaux de bêtes à cornes, se déroulait à travers d’immenses prairies, entrecoupées de rivières et de quelques fleuves à large lit.
De ce passé, relativement récent - 12 500 ans — qui était alors soumis à un climat de précipitations moyennes, demeurent des témoignages aussi nombreux et divers qu’irrécusables, y compris les squelettes des faunes aquatiques desséchées et merveilleusement conservées, comme si elles dataient d’hier !
Vestiges tangibles d’une voie prestigieuse apportant, pendant des millénaires, la matière grise des hommes rouges - ces grands civilisateurs qui essaimèrent de Guizeh à Göbleki Tepe et apportèrent la révolution du néolithique - devaient faire de l’Egypte ancienne la plus splendide héritière de la grandeur antique.
Mais en voulant trop bien faire et en déviant le Nil, les égyptiens devaient provoquer, bientôt, l’assèchement du Sahara, puis la ruine de la route pastorale qui, depuis toujours, reliait Méroé à la Terre Maternelle disparue.
A bien des égards l’Egypte reste ce miracle et l’ultime témoignage de l’Atlantide reçue en héritage.
ISBN 979-10-94592-17-5 26 € 268 Pages format 14 x 22
Fiche technique
- Editeur :
- Lux in Arcana
- Nombre de pages :
- 268
- Langue :
- Français
- CODE ISBN:
- 979-10-94592-17-5
- Poids
- 380 g
- Auteur
- Johan Dreue
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