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Les fresques alchimiques du monastère de Cimiez
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Le monastère franciscain de Cimiez, situé à Nice, reçut au début du XXè siècle, la visite d'un adolescent de dix-huit ans accompagné de son maître.
En effet, en 1917, Eugène Canseliet et son aîné Fulcanelli se rendirent à Cimiez.
Quarante ans plus tard, devenu le personnage que l'on connaît, il donna l'interprétation hermétique de plusieurs peintures décorant la sacristie, et les corridors du premier étage, là où sont situées les cellules des frères.
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Le monastère franciscain de Cimiez, situé à Nice, reçut au début du XXè siècle, la visite d'un adolescent de dix-huit ans accompagné de son maître.
En effet, en 1917, Eugène Canseliet et son aîné Fulcanelli se rendirent à Cimiez.
Quarante ans plus tard, devenu le personnage que l'on connaît, il donna l'interprétation hermétique de plusieurs peintures décorant la sacristie, et les corridors du premier étage, là où sont situées les cellules des frères.
Nous nous souvenons parfaitement du regret formulé par celui-ci, lors d'une conversation à Savignac, à savoir que les fresques de Cimiez méritaient d'être beaucoup mieux connues.
Eugène Canseliet possédait des photographies de la croix séraphique de Cimiez, et nous sommes enclin à penser qu'il avait également en sa possession un tirage complet des fresques du monastère.
Nous nous sommes donc fréquemment posé la question suivante: pour quelle raison n'a-t-il jamais fait éditer un ouvrage comprenant toutes les peintures murales, commentées par lui ?
Les remarques formulées en notre présence par le maître de Savignies prouvent suffisamment, en tout cas, que les souvenirs le rattachant au monastère lui tenaient à cœur.
Quoi qu'il en soit, pour avoir fréquemment visité le lieu, grâce à l'obligeance du conservateur, et séduit par la beauté et la richesse des couleurs des peintures franciscaines, il nous a semblé opportun que les amateurs de la Science d'Hermès, ainsi que tous les hommes et femmes de bonne volonté, puissent enfin avoir sous les yeux la totalité des fresques symboliques.
23.50 € Le Monastère de Cimiez, 112 pages, 48 illustrations couleur
Fiche technique
- Editeur :
- Lux in Arcana
- Nombre de pages :
- 112
- Langue :
- Français
- CODE ISBN:
- 978-2-35946-000-1
- Poids
- 400 g
- Auteur
- Johan Dreue
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En Écosse, le Mot de Maçon fait parler de lui dès la fin 1637.
En effet, John Stewart, premier comte de Traquair, est alors accusé de posséder ce mot. Nous le trouvons ensuite, en 1638, dans un poème de Henry Adamson, The muses Threnodie en référence avec les frères de la Rose-Croix.
Ce mot est également associé à un don de double vue permettant la prophétie.
Nouvelle édition !
L’ATLANTIDE EN HÉRITAGE Ni mythe, ni légende, l’Atlantide pourtant continue de hanter nos mémoires et nous ressentons le fait qu’elle appartient au domaine d’un réel aboli mais que nous n’avons de cesse de ressusciter.
C’est ce que nous faisons dans ce travail où nous reconstituons à partir de fragments épars la vaste fresque de ce que fut l’origine de notre civilisation à partir du legs reçu en héritage : legs biologique du Cro-Magnon, legs linguistique conservé dans la toponymie, legs des traditions et aussi legs géologique.
Proclus, appelle « Atlantins » ceux visés par le Timée et les distingue, par-là, des « Atlantes Ethiopiens ».
Or, quand ils parlent de ces derniers, Hérodote et Pline, disent, qu’ils descendraient des « Atlantides ».
On voit, ainsi, que les Pré-dynastiques d’Egypte - ou les anciens Ethiopiens - dénommés « Atlantes », descendaient de l’Atlantide.
C’est en effet, par l’Atlantide que, pendant plus de 20 millénaires, avait passé la voie des migrations par l’Ouest qui, partie de l’Est de l’île proche des côtes africaines, puis traversant la mer gagnait Abydos, puis la Nubie (Méroe), par le cap Soloëis (cap Juby) et les Oasis actuel.
Avec un traité inédit de Papus La date de composition de ce livre est incertaine et pourrait remonter au II ou au IIIème siècle après J-C.
On l’attribue à l’école valentinienne sinon à Valentin lui-même.
Cependant on y trouve agrégé d’autres éléments issus de différentes doctrines gnostiques de l’époque : Ophites, Séthiens, Barbéliotes etc ...
Le cadre du récit est un dialogue entre le Christ et ses disciples.
Paru !
Une introduction à la Tradition Primordiale : volume II.
L'étude du Graal donne en abrégé la théorie fondamentale des cinq grandes religions âryennes.
Ces religions, qui ont rayonné vers l'Orient et vers l'Occident, sont issues d'une doctrine primitive élaborée au centre de l'Asie, héritée des régions subarctiques de la période d’avant la dernière glaciation.
Dans cette génération des croyances on distingue deux périodes successives. La période ancienne comprend : au sud-est la religion vêdique, devenue plus tard le brâhmanisme, au sud-ouest la religion perse ou mazdéenne qui existe encore malgré les invasions arabes; à l'ouest le polythéisme gréco-latin qui a disparu.
Le troisième et dernier opus sur le cycle de la Femme solaire, pour rappel : vol 1 : le matin des magiciennes, Vol 2 ; les 3 totémismes avec un essai sur la genèse de la bipédie, vol. 3 : Pierre volonté et l'amazonat
pré-commande : livraison au 15 février 2024
Beau livre avec de nombreuses illustrations en couleurs. 220 pages.
Pendant longtemps ce tableau, autrefois exposé dans l’église St Maurice de Reims non loin de l’abbaye St Rémi, résista aux interprétations par le foisonnement de son symbolisme polymorphe et reçu diverses dénominations dont celui de « Vierge Alchimique de Reims ».
Le premier à en avoir effectué une analyse un peu poussé fut l’hermétiste Oswald Wirth mais celle-ci relève d’avantage de l’inventaire que de l’iconologie.
Le Quaternaire est l'époque la plus récente de l'histoire de la terre puisqu’il occupa les dernières 2,6 millions d'années. C’est aussi celle qui vit l’humanité accéder à sa pleine dimension. Les cycles de période glaciaire/interglaciaire répétées, qui ont fortement influencé le processus d’hominisation ont aussi formé sa perception du monde.
LA RÉVÉLATION PRIMITIVE DE PIERRE GORDON Avec notes et introduction de Johan Dreue " Quel que soit le moment où l’on envisage l’histoire humaine, l’on se trouve renvoyé à des générations antérieures. Cette remarque est capitale
De proche en proche, l’on remonte ainsi, forcément et toujours, jusqu’au premier homme, en qui le courant s’inaugure par suite de la disparité entre l’état initial et l’état de déchéance : les souvenirs qu’après leur chute mentale Adam et Eve ont eus de leur condition antécédente constituent les eaux mères du grand fleuve, ou, pour employer une autre image, le premier anneau de la grande chaîne de la Tradition.
de l'Ordre de l'Annonciade au code de Chambord, études de symbolisme et introduction à l'hermésisme de la Renaissance
« La Femme est une merveilleuse plante de chair, elle a du Végétal les deux êtres, les
deux profondes respirations, comme la Plante elle est chlorophyllienne, comme la
Plante elle épanouit sa fleur, elle porte le fruit, elle est verte ... »
Le « four alchimique de Winterthur » mérite plus qu’un détour car il s’agit d’un véritable « Mutus Liber » don’t l’iconographie de faïence nous délivre de façon didactique le message du Grand Œuvre, mais lequel ?
Celui de l’Adepte ou celui de l’humanité engagée dans son cycle final dans l’attente de l’Apocalypse ?
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En 1987, Richard Elliott Friedman, professeur d’hébreu et de théologie comparative à l’Université de Californie, exprima un point de vue partagé par nombre de savants, en qualifiant la disparition de la relique sacrée de mystère majeur de la Bible : « Personne ne sait où elle est aujourd’hui.
L’objet le plus important du monde, du point de vue de la Bible, a simplement cessé de faire partie de l’histoire. ».
Dans les premiers temps décrits par l’Ancien Testament, l’Arche d’Alliance était adorée par les Hébreux comme l’incarnation de Dieu lui-même, comme le signe et le sceau de Sa présence sur la Terre, comme la marque de Sa puissance et l’instrument de Son ineffable volonté.
De façon unanime et concordante les différentes traditions réparties à la surface du globe ont fait état d’un âge d’Or suivi d’un cataclysme.
Les récits se recoupent tous autour d’un évènement cataclysmique s’étant produit entre 8 à - 12.000 ans avant JC qui correspond aussi avec la fin de la dernière glaciation de Wurm.
Il y eut au pléistocène d’importants bouleversements du climat, froid et rude durant la période glaciaire, puis doux et tempéré pendant l’interglaciaire, jusque dans les régions polaires.
Aujourd’hui on a des preuves suffisantes pour montrer que les régions arctiques d’Asie et d’Europe étaient caractérisées à la période interglaciaire par des étés frais et des hivers doux, équivalent à un perpétuel printemps ;
LE MYTHE D’ERMÈS Pierre Gordon avec un complément de Johan Dreue sur Hermès à la lumière de la Tradition Primordiale
Le mythe d’Hermès de Pierre Gordon est sans aucun doute l’inventaire le plus complet réalisé à ce jour sur ce dieu mercuriel qui fut aussi le seul à bénéficier d’une nouvelle actualité à la Renaissance puisqu’elle en fit le porteur d’une révélation eschatologique sous son nouveau label de Trismégiste.
Il se pourrait que cette révélation demande une nouvelle exégèse à la lumière de récentes découvertes.