Le matin des magiciennes


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Avant les religions, avant l’animisme, il y eut la Magie, première institution collective, première reconnaissance du “tout Autre” au travers d’un système complexe que fut le Totémisme avec ses rituels. La femme en fut pendant longtemps la principale prêtresse et officiante. C’était le temps des grands lointains, celui de l’âme d’antant – où la Femme civilisatrice incarnait le principe actif solaire. Précédant des auteures comme Simone de Beauvoir, ou Marija Gimbutas (le langage de la grande déesse), Lotus de Païni (1862-1953) figure au premier plan de ces femmes pionnières dans l’histoire du féminisme ou plutôt de la féminologie. Ses premiers lecteurs étaient des auteurs tels qu’André Breton, Henry Miller ou encore René Daumal. Artiste peintre au talent reconnu pour son art de portraitiste, elle fut la collaboratrice de Rudolph Steiner et participa à l’aventure du premier Goetheanum qu’elle finança avant de troquer ses pinceaux pour la plume. Elle laisse à la postérité une œuvre lumineuse que nous vous livrons avec une étude commentée et augmentée par nos aperçus sur la radiance initiale. Des documents inédits des archives akashiques de R. Steiner apportent un éclairage indispensable à sa compréhension. La Magie et le mystère de la Femme nous invite à réfléchir sur les concordances magiques que la femme entretient depuis toujours avec le règne végétal, ses métamorphoses perçues autre fois dans le totémisme initiatique, première forme élaborée d’un symbolisme ontologique, prisme au travers duquel l’humanité première imagina le Monde et le comprit essentialement. De l’Australie jusqu’à la vieille Europe, les civilisations ont conservé enfoui dans les mythes et symboles cette lumière aurorale que nous pouvons encore percevoir en rêve et que les aborigènes nomment aussi alcheringa.

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