Louis Jules Gabriel Violle alias Fulcanelli, l’alchimiste de la lumière.
Fulcanelli : en 2013, après plus de 90 ans de silence et d’omerta une porte s’ouvre sur une vérité en marche.
Savant, explorateur de l’impossible, homme d’action, expérimentateur, homme de lettres et visionnaire à sa façon, Jules Violle a pu connaitre l’estime des siens et de ses proches mais l’histoire lui a injustement volé une partie de son oeuvre. C’est à réparer cette injustice que nous avons consacré le présent ouvrage. Entretemps, des personnes sans vergogne et au talent médiocre avaient profité du vide documentaire pour laisser libre cours à une imagination aussi débridée que dérisoire sans relever le véritable défi que constituait une sérieuse enquête sur la personnalité du Maître et les motivations profondes de son engagement dans l’Art d’Hermès. Après avoir organisé le colloque en 1999 en l’honneur de la mémoire de son disciple en l’art d’Hermès, Eugène Canseliet, nous ne nous sentions pas prêt à affronter les affairistes qui sévissent dans les parages du nom du Maître, mais aujourd’hui avec l’accord de la famille nous allons rendre publique les archives en notre possession afin que cesse définitivement les polémiques qui brouillent son message. En conséquence, nous allons vous ouvrir la porte du 89 Boulevard Saint-Michel et révéler ce qui avait été consigné depuis plus de 90 ans !… des photos rares et inédites, une série de manifestation prévue en 2013 pour célébrer le Maître avec des personnalités inattendues et attendues !
Jules (Louis Jules Gabriel) Violle (1841-1923) Physicien français né à Langres (Haute-Marne) le 16 novembre 1841 et mort à Fixin (Côte-d’or), près de Dijon, le 12 septembre 1923. Il naît dans une famille où le père et le grand père était mathématicien. En 1861, il est admis simultanément à l’École polytechnique et à l’École normale supérieure. C’est cette deuxième qu’il choisit finalement d’intégrer. Il y côtoiera Édouard Branly avec qui il sera très lié. Il réussit le concours d’agrégation de physique en 1865. Il est nommé à Besançon puis à Dijon et revient à Paris au lycée Saint-Louis.
Durant son séjour à Dijon, Louis Pasteur qui l’avait connu et apprécié à l’ENS lui offre de venir travailler dans son laboratoire. Il lui trouve une place de préparateur chez Henri de Lacaze-Duthiers au Muséum national d’histoire naturelle puis un an après, au laboratoire de l’École normale supérieure. Il passe sa thèse de docteur ès Sciences en 1870. Son mémoire comporte deux thèses « Sur l’équivalent mécanique de la chaleur » et « Travaux de M. Pasteur sur les fermentations ». En 1872 ou 1875, il est nommé professeur de physique à la faculté des sciences de Grenoble. Continuant les travaux de Claude Pouillet 40 ans plus tôt, il réalise les premières mesures sur le Mont Blanc en 1875 afin de déterminer la constante solaire. à suivre dans le livre
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