Colloque les Nouveaux alchimistes à Bourges le 9 Novembre 2014
Démonstration filmée lors du colloque
Jean Christophe Dumas, inventeur ardéchois travaillant sur les énergies propres est arrivé à mettre à profit ses connaissances de l’énergie « sur unitaire » (elle produit plus qu’elle ne consomme).
Il a inventé une « boule magique ». Elle remet en cause toutes les lois connues de la physique et en particulier de l’électricité.
Elle est constituée d’une sphère surmontée d’une hémisphère métalliques. Les deux sont traversées par un tube métallique permettant la fixation et réglages. Un fil électrique est relié à la sphère, l’autre à l’hémisphère.
Lorsqu’on plonge le tout dans l’eau, et que l’on connecte les fils sur le courant 220V, 1er miracle , pas de court circuit, les fusibles ne disjonctent pas. 2ème miracle, l’eau boue quasi instantanément (entre 0,2 et 3 secondes en fonction de la quantité d’eau et du dimensionnement de la boule).
Elle produit ainsi à moindre coût de la vapeur qui peut être utilisée dans de nombreux domaines : (consommation moyenne 350 Wh) Chauffage, dessalinisation d’eau de mer etc…
Plusieurs personnalités dont Pierre Rabhi, et des communautés scientifiques, ont pu assister à des démonstrations dont les résultats sont éloquents.
Un seau contenant 3 litres d’eau dans lequel on plonge la boule raccordée au 220volts et surmontée d’un tube genre tuyau de cheminée atteignait une température d’environ 80 degrés en quelques minutes. Bien mieux qu’un radiateur électrique en ne consommant à terme que 500 watts au lieu de 2500, c’est bluffant !!!
N’importe quel bricoleur pourra se fabriquer un radiateur économique pour quelques dizaines d’euro.
Jean Christophe a réalisé une installation qui permet de chauffer 200 m2 en remplaçant la chaudière par son invention (consommation moyenne 2500w). Cette invention peut permettre de très nombreux développements . Ce 7 avril JC Dumas va révéler au monde entier un calcul savant qu’il est pour l’instant (presque) le seul à maîtriser ( par précaution, plusieurs dizaines de personnes de confiance sont dépositaires de ce calcul) permettant un dimensionnement de sa boule, sans risque.
Il est bien sûr possible d’utiliser l’énergie solaire pour alimenter le tout. Cette découverte qui permet d’utiliser de l’eau, de l’électricité (solaire) pour produire de l’énergie propre, sans utilisation d’énergie fossile (pétrole, charbon, gaz de schiste, etc ) risque de gêner bon nombre de multinationales dont les intérêts seront remis en cause.
Voila, c’est tout bête pour quelques euro n’importe quel bricoleur peut construire sa propre « boule magique » à utiliser avec toutes les précautions pour manipuler du courant électrique. Ce qu’il faut pour que le tout fonctionne, c’est une formule permettant de régler l’assemblage. Elle fut dévoilée le 7 avril 2014 et implique le nombre d’or.
Jacques Dailly
Qu’est ce que l’effet Dumas ?
« Dans l’espace, il existe une forme d’énergie libre, infinie qui permettra à l’humanité de mettre en harmonie ses techniques énergétiques avec les grands rouages de la nature. Cette découverte n’est qu’une question de temps. » Nicolas Tesla (1856-1943)
En 1948, grâce à la théorie quantique des champs et en totale violation des lois de la thermodynamique, le physicien Hendrik Casimir prédit l’existence d’un réservoir infinie d’énergie dans le vide. En 1958 une première preuve expérimentale de la validité de cette théorie est apportée. En 1997 Sparnay puis Lamoreaux réalisent l’expérimentation qui valide scientifiquement l’effet Casimir.
Durant plusieurs années, un chercheur ardéchois indépendant, Jean-Christophe Dumas, explore « l’effet Casimir » en relation avec la résonance de l’eau. Il découvre un procédé générateur spontané de vapeur aux caractéristiques singulières. « L’effet Dumas » est expertisé à Nice par un laboratoire indépendant le 14 septembre 2013. Les conclusions du rapport sont édifiantes : à l’instar de l’effet Casimir, l’effet Dumas génère un rendement de 116% d’énergie.
Pour la première fois un procédé simple, facile à concevoir et très peu coûteux, permet à tous, un accès à l’énergie libre.
Bourges : les nouveaux alchimistes, 9 et 10 Novembre 2014
Dans les annales du colloque on pourra retrouver tous les développement sur l’énergie libre et le procédé Dumas théorisé par le Dr. Ricois. Nous en donnons ici un extrait :
« DE L’EFFET THERMIQUE DU RESONATEUR DUMAS »
Au-delà de l’effet joule quelques hasards numériques
I Deux caractéristiques remarquables
Certains contre-expérimentateurs de la boule Dumas avancent qu’ils n’obtiennent QUE un rendement thermique de 90 à 99.9 %. N’ayant pas accès à leurs protocoles il est impossible d’en faire la critique sur des bases scientifiques. Toujours est-il qu’en régime permanent (à ébullition) nous aurions alors au minimum 90 % de l’énergie électrique dépensée utilisée pour vaporiser de l’eau. Ce taux de perte de 10 % serait remarquablement faible [Caractéristique A].
A ma connaissance, il n’y a pas de système qui offrirait un meilleur compromis entre rusticité, robustesse et rendement que le résonateur Dumas. Dans le cas contraire, je ne demande qu’à être détrompé par un esprit plus éclairé, preuves à l’appui, afin d’être édifié quant à mon ignorance.
Dans un message précédent, je m’étonnais de la RAPIDITE DE L’OBTENTION DE VAPEUR D’EAU [Caractéristique B]. Presque immédiate, cette fulgurance est un phénomène inédit, je souhaite être détrompé là-encore dans le cas où un procédé plus simple, plus rapide et plus rentable existerait. Quelques semaines de réflexions ont été nécessaires pour rendre compte de cela. [A] et [B] paraissent liés.
Or, la caractéristique [B] est incompatible avec l’effet joule pour de nombreuses raisons, déjà évoquées :
[1] Il faudrait que l’eau elle-même soit un milieu suffisamment conducteur pour que l’énergie électrique du courant se dégrade en chaleur par mobilisation des électrons. Or l’eau purifiée disponible dans le commerce présente un résistivité de 20M à 100Mxohmxm. Il en résulte que le transfert d’électrons d’une borne à l’autre est négligeable: l’effet Joule ne rend pas compte de l’échauffement de l’eau par passage de courant à travers ce milieu isolant.
[2] Notons aussi que la compacité des masses métalliques hémisphériques dans la boule Dumas est incompatible avec une utilisation optimale de l’effet Joule : il suffit d’ouvrir un radiateur pour voir au contraire que les constructeurs maximisent l’étirement des matériaux sur de grandes longueurs et de larges surfaces pour améliorer l’efficacité des phénomènes dissipatifs requis pour le chauffage.
De plus, la quasi absence de transferts d’électrons comme [1] le montre implique aussi un échauffement négligeable du métal par effet joule, d’où une production négligeable de chaleur dans la masse métallique de la boule.
[3] L’eau présente une conductivité thermique faible et une inertie thermique élevée, ces deux propriétés en font un milieu impropre aux transferts rapides de chaleur.
[4] La boule a la même température que l’eau, or en toute logique, en cas d’effet Joule, elle devrait être bien plus chaude.
II Commente expliquer la fulgurence ?
[1], [2], [3] et [4] posent donc la question suivante : COMMENT PARVIENT-ON AUSSI VITE A CHAUFFER ET VAPORISER DE L’EAU ?
Si l’effet résistif est quasi absent ([1], [2], [3], [4]), seuls les effets capacitif et inductif peuvent être mis en avant. Autrement dit il faut considérer l’eau comme un condensateur capable de dégrader l’énergie potentielle de sa charge en chaleur et/ou comme une bobine s’opposant à la variation d’un flux de champ en générant une force électromotrice capable de mobiliser l’eau.
L’effet inductif paraît peu contributif. D’une part, le faible débit d’électrons [1] évoque une faible intensité du champ magnétique induit, car un champ magnétique est proportionnel au débit des charges dans le circuit. Par ailleurs la géométrie du circuit, dépourvu de boucles, réduit les phénomènes d’induction au minimum. Pour ces deux raisons, un effet inductif est peu envisageable.
Les concepts du magnétisme sont plus difficiles à maîtriser que ceux de l’électrostatique, peut-être quelqu’un pourra-t-il redresser ce raisonnement qualitatif. Là encore, que les personnes compétentes nous fassent l’avantage de leur savoir.
RESTE L’HYPOTHESE CAPACITIVE. Nous allons voir que cette hypothèse est pertinente pour expliquer [A] et [B].
Établissons un pré-requis minimal en électrostatique: l’interaction électrostatique (ou coulombienne) correspond au fait que le (+) attire le (–) et réciproquement, à contrario les charges de nature identiques se repoussent.
Or LA MOLECULE D’EAU EST FORTEMENT POLAIRE, c’est à dire que les charges qui la composent se répartissent selon deux zones (ou pôles) chargées positivement (les deux atomes d’hydrogène) et un pôle négatif (l’atome d’oxygène), le tout peut être considéré comme un unique dipôle somme de deux «dipôles» élémentaires dont la résultante crée un «moment dipolaire» (un segment orienté suivant un pôle positif vers un pôle négatif).
Par interaction électrostatique, la tendance d’H2O sera d’aligner son moment dipolaire sur le potentiel électrique ambiant : afin de minimiser son énergie potentielle électrostatique, l’atome d’oxygène pointe vers le potentiel positif (la cathode) et les atomes d’hydrogène vers le potentiel négatif (vers l’anode). Cela entraîne la rotation de la molécule d’eau dont le frottement contre ses voisines va augmenter la température du milieu [5].
Notons que la boule Dumas est demi-condensateur « historique », soit la forme la plus rustique et la plus ancienne d’un condensateur. Entre chaque hémisphère métallique, les dipôles que sont les molécules d’eau ont tendance à aligner leurs moments dipolaires suivant les lignes de champ électrique de ce condensateur et renforce leur polarisation dans le même temps. Le champ électrique entre les deux hémisphères est très fort : le potentiel varie de 220V sur 1.6mm, soit près de 140kV/m, la contrainte exercée sur les dipôles est en proportion.