« Dans l’espace, il existe une forme d’énergie libre, infinie qui permettra à l’humanité de mettre en harmonie ses techniques énergétiques avec les grands rouages de la nature. Cette découverte n’est qu’une question de temps. » Nicolas Tesla (1856-1943)
Aujourd’hui par mes archives consignées dans les cahiers Fulcanelli, nous savons que Nikola Tesla et Fulcanelli se sont rencontrés en 1890 non loin des chutes de Niagara. Les discussions se poursuivirent à Chicago et l’influence de l’Adepte fut déterminante dans l’évolution intellectuelle du jeune électricien. Tesla avait posé les pieds sur le sol américain en 1884 et il avait déjà fait son chemin auprès de Thomas Edison. En 1886 il avait crée sa propre entreprise et c’est celle ci qu’il eut l’honneur de montrer en 1890 à l’Adepte venu lui rendre visite.
Pour comprendre les origines de la découverte de Tesla sur l’énergie libre et son origine, il faut revenir à son obsession première qui est celle du transport de l’électricité sur de longues distances. Un premier pas révolutionnaire avait déjà été accomplit avec l’invention du courant alternatif, mais Tesla voyait plus loin encore ..
Au cours de la même année que celle de l’inauguration de la centrale des chutes du Niagara, Tesla, qui était capable de travailler simultanément sur plusieurs projets, aussi bien théoriques que pratiques, annonça avoir découvert les rayons cosmiques, ainsi qu’un système technologique pour en exploiter l’énergie. La très grande inventivité de Tesla et sa capacité de travailler sur plusieurs projets à la fois commencèrent à exciter la jalousie de ses collègues comme Edison et des universitaires de l’époque, au point que quelqu’un commença même à le taxer de folie, de mégalomanie, voire de vantardise. Bien des années plus tard, Tesla déclara à ce propos :
Ils me traitèrent de fou en 1896 lorsque j’annonçai la découverte des rayons cosmiques. Ils n’eurent de cesse de se moquer de moi, puis, des années après, ils purent vérifier que j’avais raison. À présent, je présume que l’histoire se répètera quand j’affirmerai avoir découvert une source d’énergie jusqu’ici inconnue, une énergie sans limites et qu’il est possible de canaliser… J’ai commencé à travailler pour endiguer l’énergie des rayons cosmiques et je peux à présent affirmer avec certitude être parvenu à faire fonctionner un appareil motorisé qui marche par leur intermédiaire. Je peux vous dire que, généralement parlant, les rayons cosmiques ionisent l’air en libérant de nombreuses particules libres comme les ions et les électrons. Ces charges sont emmagasinées dans un condensateur qui fait office de système d’échappement pour le circuit du moteur. J’espérais construire mon moteur à grande échelle, mais les circonstances n’ont malheureusement pas été favorables.
En 1901, ces concepts, qui se basaient sur son expérience technologique acquise avec les courants alternatifs, se concrétisèrent dans l’obtention d’un brevet pour la production d’« énergie libre ». Le brevet s’intitulait « Dispositif pour l’utilisation d’énergie rayonnante ». Les sources principales d’« énergie libre » auxquelles Tesla se référait étaient le soleil, la magnétosphère et leur interaction mutuelle, la Terre et les rayons cosmiques. En résumé, le but principal de Tesla était de condenser l’énergie piégée entre la Terre et la haute atmosphère pour la transformer en courant électrique. Il visualisa le soleil comme une immense boule faite d’électricité et chargée positivement avec un potentiel de plus de 200 milliards de volts, et la Terre, comme un corps chargé négativement. L’énorme force électrique qui jaillit entre ces deux corps constituait, du moins en partie, ce qu’il appelait aussi « énergie cosmique ». Cette énergie varie entre le jour et la nuit et d’une saison à l’autre, mais elle est toujours présente. Tesla se rendit compte le premier de l’existence, dans notre environnement naturel, d’un système spontané de conduction électrique parce que le soleil crée des particules ionisées qu’on peut canaliser aussi bien par le sol que par l’ionosphère (à 70 km de hauteur) comme des moyens de conduction électrique. En raison des propriétés conductrices de ces deux éléments, il est possible d’émettre des ondes radioélectriques de basse fréquence qui s’assemblent dans le canal sol/ionosphère, puis se propagent dans un « guide d’ondes ».
Sur la base de ce processus, les particules positives sont bloquées au niveau de l’ionosphère, et entre cette dernière et les charges négatives du terrain – soit une distance de 70 km – il existe une différence de potentiel de l’ordre de 360 000 volts. Avec les gaz de l’atmosphère, qui agissent comme des couches isolantes placées au milieu de ces deux charges électriques opposées, la région située entre le terrain et le début de l’espace est en mesure de piéger une grande quantité d’énergie. Malgré ses grandes dimensions, la planète se comporte électriquement comme un condensateur qui sépare les charges positives des charges négatives en utilisant du matériel non conductible en guise d’isolant. (à suivre)
De nos jours de jeunes chercheurs ont repris les recherches, notamment Jean-Christophe Dumas avec son « résonateur ». Durant plusieurs années, un chercheur ardéchois indépendant, Jean-Christophe Dumas, explore « l’effet Casimir » en relation avec la résonance de l’eau. Il découvre un procédé générateur spontané de vapeur aux caractéristiques singulières. « L’effet Dumas » est expertisé à Nice par un laboratoire indépendant le 14 septembre 2013. Les conclusions du rapport sont édifiantes : à l’instar de l’effet Casimir, l’effet Dumas génère un rendement de 116% d’énergie.
Pour la première fois un procédé simple, facile à concevoir et très peu coûteux, permet à tous, un accès à l’énergie libre. Avec son ami Pierre Antoine Courouble , il sera présent le dimanche 9 Novembre au colloque sur « les nouveaux alchimistes » à Bourges
Pierre Antoine Courouble et Jean-Christophe Dumas : des militants pour une technologie bienveillante
Voir le supplément Tesla Fulcanelli