Note : dans la dernière étape de son existence, le physicien et chimiste, avait délaissé ses travaux sur le soleil et les hautes températures pour préparer l’élaboration d’un nouveau modèle de géophysique : ses travaux portaient pour l’essentiel sur l’origine des séismes, des éruptions volcaniques ou du dérèglement du magnétisme terrestre. Le titre « Finis Gloriae Mundi » avait pour but d’exprimer combien les facteurs accidentogènes liés à l’activité du feu terrestre pouvaient menacer nos civilisations éphémères … Mais il y avait encore bien plus et c’est ce que nous livrons avec ces suppléments.
L’ombre du célèbre prédicateur côtoie toute l’œuvre de l’Adepte. Dans cet ouvrage spécial qui achève la trilogie Fulcanelli nous levons le voile sur le secret de Saint Vincent Depaul, l’origine de sa formation et expliquons pourquoi ces deux destins qui se sont côtoyés à plusieurs reprises se retrouvent ici à Hendaye. Sur l’illustration à l’arrière plan nombreux sont les visiteurs qui en franchissant le porche d’entrée ignorent la véritable signification de ce serpent enroulé sur l » »Axis Mundi »..
Domaine hermétique d’Abbadia ou domaine de A gardé par le serpent qui descend des trois AAA (trois tours), le long de l’Axe du « ciel ». Les morsures de ce gardien du pivot de l’Art sont venimeuses. Sans l’avoir vaincu il est impossible de pénétrer dans le « palais du roi ».
En d’autre terme nul n’entre ici s’il ne connaît le secret des cristaux pointus et agressif de sel A (« Ammoniac » ou Alcali), dont la « morsure » est corrosive. C’est le véritable pivot de l’œuvre alchimique dont la révélation vient d’en haut ou d’un ami mandaté par le « ciel ».
Disponible prochainement et sur commande auprès de l’ARL. Au sommaire de ce dossier corrosif et sans précédent : genèse et enjeux scientifiques du Finis Gloriae Mundi, Eschatologie alchimique et les pièces de Laplanche, Abbadia et son véritable concepteur, le secret révélé de Saint Vincent de Paul et pourquoi l’Adepte le cite tout au long de son œuvre avec des révélations inédites qui montrent – s’il en était encore besoin – combien le Savant et l’Adepte ne font bien qu’une seule et même personne.