L’œil pariétal et la glande pinéale : la vision intérieure


Le troisième œil ou œil pinéal ou encore œil pariétal est un organe photosensible situé sur le haut du crâne de certains reptiles et amphibiens. Il existerait de manière vestigiale chez l’homme sous la forme de la glande pinéale.

Pendant longtemps, la glande pinéale, dans laquelle Descartes avait placé le siège de l’âme, était resté énigmatique. Les études d’anatomie comparée et d’embryologie ont démontré que cette glande est le résultat d’une évagination du plafond du thalamencéphale et qu’elle est un œil avorté, le troisième œil des vertébrés. En effet, on retrouve cet œil médian chez les larves d’Ascidies et chez les Pyrosomes adultes. Chez plusieurs Lézards (Hatteria, Anguis fragilis, Lacerta vivipara, etc.), cet œil pariétal comprend une cornée, un cristallin, une rétine. Véritable œil, il est relié au cerveau par un pédicule comparable au nerf optique et vient se loger sous la peau du crâne en passant à travers le trou pariétal qui existe dans le crâne de ces espèces et qui est beaucoup plus développé encore chez les grands Sauriens (Ichthyosaures, Plésiosaures, etc.). Chez les Amphibiens cette communication se trouve déjà interrompue pendant la période embryonnaire, par suite de l’oblitération du trou pariétal, et, chez les Oiseaux et les Mammifères, la glande pinéale demeure dans le crâne. Chez l’homme on peut comparer la glande pinéale au compteur ordinal du microprocesseur celui qui donne le rythme et fait avancer le programme selon sa fréquence (impulsion du à la vibration du cristal).


Hypophyse
L’épiphyse est l’organe qui contient, proportionnellement, le plus de sérotonine de tout l’organisme. C’est aussi le seul organe à posséder une substance particulière capable de transformer la sérotonine en mélatonine, c’est-à-dire une enzyme spécifique. Cette sérotonine est vraisemblablement sécrétée par les terminaisons si nombreuses dans l’épiphyse, des nerfs sympathiques. Ceux-ci viennent y décharger la quantité la plus importante de sérotonine qu’on trouve dans tout l’organisme. Cette sérotonine est soit libéré telle quelle, soit transformée en mélatonine, selon les ordres reçus par l’épiphyse. Pr l’intermédiaire de l’hypothalamus, et à partir des messages qui lui envoie la vision du dehors et du dedans, l’épiphyse règle l’activité de reproduction, l’équilibre des réserves d’eau de l’organisme (l’eau est l’ultime réserve de vie), et l’activité métabolique de toutes les cellules (la thyroïde commande au métabolisme de base).

C’est chez Lotus de Païni que l’on trouve la première mention moderne du rôle important et la fonction de cet œil relique que nous avons encore dans notre cerveau mais inopérant désormais.

« Il existe une autre preuve de l’ancestralité saurienne de l’homme. Cette preuve comporte le profond, l’essentiel mystère de l’origine, le mystère qui est l’objet même, foncièrement occulte du Totémisme : il s’agit du phénomène VISUEL chez les animaux des époques très lointaines.

Les Trois totémisations

en souscription ici

Perrier dit, en parlant des sauriens du secondaire : « leur crâne membraneux était entièrement recouvert de plaques osseuses dermiques, entre lesquelles n’était réservé que le trou occupé par l’œil pariétal » (32). Belzung décrit cet œil : « l’épiphyse, réduite chez l’homme à un petit corps ovoïde placé entre les tubercules quadrijumeaux antérieurs, prends chez quelques sauriens, par exemple dans l’hatterie de la Nouvelle-Zélande, survivance du lézard permien, un remarquable développement et aboutit à un organe oculaire dit : œil pinéal ou troisième œil. L’œil pinéal est placé sous la peau transparente du milieu de la tête dans un orifice du crâne. Il est creusé d’une assez large cavité et limité, en avant, par un cristallin biconvexe, en arrière, par une rétine dont les éléments sensibles (cônes) tournent leur extrémité libre vers le cristallin et sont en rapport intérieurement avec les fibres du pédicule » (33). C’est tout…, et le fait que toutes les têtes, soit animales, soit humaines, possèdent actuellement deux yeux enchâssés dans des arcades sourcilières, alors que la tête de l’hatterie a, elle aussi, deux yeux, mais porte en plus un troisième œil au milieu du front (œil qui représente peut-être bien un septième sens), ce fait bizarre ne provoque aucune réflexion !…

Pourtant ce fait est de la plus grande importance, car il montre que, dans les grands lointains, des animaux très organisés avaient une VISION CENTRALE, un OEIL UNIQUE au sommet du crâne, pendant que les deux yeux de la face – intérieurement en construction – voyaient vaguement et ne localisaient pas les objets. Ce fait est des plus importants, dis-je, car cette visualité centrale « unique » modifie du tout au tout l’aspect à trois dimensions des choses et des êtres, aspect qui caractérise le plan physique, que seul aujourd’hui nous pouvons percevoir. Or cette visualité unique était celle de l’âme. »


Commençons  par quelques notions anatomiques et médicales :

La glande pinéale ou épiphyse est une petite glande endocrine de l’épithalamus du cerveau des vertébrés. À partir de la sérotonine, elle sécrète la mélatonine et joue donc, par l’intermédiaire de cette hormone, un rôle central dans la régulation des rythmes biologiques (veille/sommeil et saisonniers) ! Chez l’homme, l’épiphyse a la forme d’une pomme de pin (d’où son nom) ou d’un petit cône (d’environ 8 mm) situé en position médiane en arrière du troisième ventricule, entre les deux thalamus, au-dessus des colliculi supérieurs derrière la stria medullaris.

On parle ainsi de cette glande comme du « troisième œil ». Chez l’homme au cours de son évolution (dévolution), l’épiphyse a perdu cette fonction photoréceptrice. Dans l’espèce humaine, la glande pinéale croît en volume jusqu’à l’âge d’un à deux ans puis se stabilise mais sa masse augmente à partir de la puberté.

Production de la mélatonine : activité diurne et nocturne

La production de mélatonine a lieu principalement pendant la nuit, et ceci y compris chez les espèces nocturnes. La synthèse de la mélatonine se fait en quatre étapes.

En effet, il se produit souvent une calcification de cette glande chez l’adulte qui est associée à la baisse de production de mélatonine.

Il semblerait que l’épiphyse joue donc aussi un rôle dans la régulation du développement sexuel causé par la mélatonine qui inhibe l’apparition des caractères sexuels secondaires. La baisse de production de mélatonine à la puberté correspondrait donc à une levée de cette inhibition. Cela expliquerait le fait qu’un dysfonctionnement de l’épiphyse peut se manifester par une puberté précoce (développement accéléré des organes sexuels et du squelette).

Enfin, l’épiphyse participe aussi à la régulation des rythmes infradiens liés aux saisons. Elle sécrète la mélatonine (dérivé de la sérotonine sécrétée elle par les tissus nerveux), et joue par son intermédiaire un rôle central dans la régulation du rythme biologique.

Chez les oiseaux, la glande pinéale est située juste sous la surface du crâne d’où elle capte l’intensité lumineuse extérieure et permet ainsi d’ajuster le rythme circadien de l’animal.

Œil pinéal visible sur un sujet jeune de grenouille ouaouaron. (observer la tache grisâtre entre les deux yeux)

Avec une approche plus générale, l’embryologie et l’anatomie comparée vont jusqu’à la désigner comme le troisième œil avorté des vertébrés, qui est d’ailleurs un œil véritable chez certains lézards et chez le sphénodon.

La glande pinéale fut la dernière des glandes endocrines dont la fonction fut identifiée.

Cela explique sans doute les spéculations tant physiologiques que métaphysiques qui ont entouré son rôle supposé central dans la pensée du fait de sa position dans l’encéphale. La plus célèbre de ces théories est sans doute celle du philosophe français René Descartes qui désigna la glande pinéale comme le « siège » de l’âme.

Pour justifier cette hypothèse, Descartes se basait sur le fait que la glande pinéale aurait été l’unique organe de la tête à n’être pas conjugué, c’est-à-dire ne se présentant pas sous une forme de pair d’organes symétriques situés de part et d’autre du plan sagittal.

Par ailleurs outre sa position centrale, la glande pinéale se trouve juste au dessus de l’aqueduc de Sylvius dont Descartes pensait qu’il guidait les esprits animaux qui faisaient naître les sensations dans l’âme en frappant la glande pinéale. Aujourd’hui, les études histologiques ont montré que la glande pinéale est bien un organe conjugué mais les deux hémisphères qui la constituent sont presque fusionnés. On attribue à la glande pinéale la possibilité de  sécréter du DMT (diméthyltryptamine), une substance psychotrope hallucinogène qui jouerait un rôle dans les rêves.

La glande pinéale est parfois aussi appelée « le troisième œil atrophié ».

Glande Pinéale & DMT…

Quand la force de vie individuelle entre dans le corps du fœtus vers 7 semaines, c’est le moment où nous devenons véritablement humains, elle passe à travers la glande pinéale et déclenche la première crue primordiale de DMT (N-diméthyltryptamine). Plus tard, à la naissance, la glande pinéale libère plus de DMT.

Le DMT est un médiateur des expériences pivots de la méditation profonde, des états de conscience chamaniques, des psychoses, de l’émergence spirituelle et des expériences de mort imminente. La glande pinéale est profondément enfouie dans le cerveau, ce qui semble donné à entendre son importance cachée et s’aligne à la hauteur de nos yeux.

position pinéale

La glande pinéale est activée par la lumière, et elle contrôle les différents biorythmes du corps. Elle travaille en harmonie avec l’hypothalamus qui dirige la soif du corps, la faim, les désirs sexuels et l’horloge biologique qui détermine notre processus de vieillissement. Quand elle se réveille, on ressent une pression à la base du cerveau.

Bien que la fonction physiologique de la glande pinéale ait été inconnue jusqu’à une époque récente, les traditions mystiques et ésotériques des antiques écoles ont reconnu depuis longtemps ce domaine dans le milieu du cerveau à être le lien entre les mondes physique et spirituel.

Considéré comme la source la plus puissante et la plus élevée de l’énergie éthérée à la disposition de l’homme, la glande pinéale a toujours été importante dans le déclenchement des pouvoirs surnaturels. Le développement des talents psychiques a été étroitement associé à cet organe de vision supérieure.

Une cour lui est même dédiée au sein du Vatican, c’est la cour de la Pigna ! Elle doit son nom à une immense pomme de pin en bronze, d’environ 4 mètres de haut, placée dans la niche du Palais du Belvédère. À l’époque classique, elle se trouvait à Rome près du Panthéon, dans ce qui est devenu le quartier de la Pigne, au Moyen Âge, elle fut probablement transportée dans l’ambulacre de l’ancienne basilique Saint-Pierre, avant d’être placée ici en 1608. De part et d’autre, on remarquera deux paons de bronze, copies d’originaux du IIe siècle après J.C, conservés dans le Braccio Nuovo. C’est également le symbole utilisé par le Pape pour illustrer le trait d’union entre la terre et le ciel, la chair et le spirituel…


L’épiphyse

L’épiphyse joue un rôle central dans les phases du sommeil, de la reproduction, voir du bien être.

Elle est constituée de cristaux d’apatite. Ces cristaux vibrent en fonction des ondes électromagnétiques captées.

L’épiphyse est stimulée par certaines longueurs d’onde de la lumière : de la lumière réfléchie comme de la lumière directe. Ceci, sur une très large palette du spectre, bien au-delà du seul spectre visible.

Si l’épiphyse coordonne le rythme, alors elle est confrontée au temps cyclique. Elle est donc l’unique organe du corps directement relié à la quatrième dimension : l’espace-temps.

Dans un très grand nombre de courant spirituels et religieux, l’épiphyse serait capable de détecter des dimensions invisibles aux yeux ordinaires et joue un rôle important pour des expériences de parapsychologie.

Pour certains philosophes et mystiques, elle serait le siège de la conscience, de l’âme. Elle pourrait être liée aux phénomènes tels que la clairvoyance (voyance d’événements non encore advenus), la télépathie (communication au moyen de la pensée) et la capacité d’entrer en contact avec d’autres dimensions (médiumnité).

La lumière du soleil est donc extrêmement importante pour l’épiphyse. Elle est captée et « digérée » par les yeux et la peau. De là à lier le troisième œil au symbolisme du soleil (représenté dans de nombreuses civilisations) il n’y a qu’un pas. Pour l’anecdote, dans les années 70, la NASA aurait conduit une série d’observations et de tests sur des sujets humains pratiquant une visualisation directe de la lumière solaire plusieurs minutes par jours.

Des cristaux d’apatite…

L’étude par la diffraction des rayons X a donc permis de découvrir l’existence des cristaux d’apatite. L’apatite est un minéral que l’on trouve aussi dans la nature sous la forme de pierres taillées. Des recherches montrent que ce cristal réagit aux champs électromagnétiques.

Dans l’épiphyse, on a pu observer qu’une micro-circulation sanguine maintenait métaboliquement les cristaux réceptifs. Ces cristaux donnent à la glande une structure semblable à celle d’une caisse de résonance : l’apatite comporte de nombreux électrons (charge négative) à sa superficie : ils repoussent le champ magnétique. Lorsqu’un champ magnétique s’approche de la glande, il touche l’un des cristaux qui ricoche sur un autre, et ainsi de suite. Jusqu’à ce que le champ soit fait prisonnier et fasse résonner tous les cristaux de l’épiphyse.

Après vérification, on sait de nos jours qu’aucune épiphyse n’est semblable à une autre… Plus on est âgé, plus on a de fines lamelles. Ce n’est donc pas la quantité de cristaux d’apatite qui indique l’âge, mais le nombre de lamelles qu’un cristal possède.

Plus une personne dispose de cristaux, plus elle aura de possibilités de capter les ondes électromagnétiques. Personne ne peut augmenter ou diminuer cette concentration de cristaux. C’est là une caractéristique biologique, au même titre que la couleur des yeux ou des cheveux.

Nous sommes donc tous dotés de différentes quantités de cristaux d’apatite. Et bien que nous n’ayons aucun pouvoir pour en augmenter la quantité, il nous est cependant possible d’en stimuler fortement le fonctionnement. Par exemple, en améliorant ses qualités de réception par la réduction de sa calcification.

Épiphyse et calcification

La calcification est l’accumulation de cristaux de phosphate de calcium dans diverses parties du corps. C’est un processus naturel causé par les nano-bactéries qui forment de minuscules coquilles de phosphate de calcium autour d’eux, essentiellement pour se protéger du système immunitaire.

De par sa position dans le cerveau, l’épiphyse n’est pas protégée par la barrière hématoencéphalique. Elle reçoit donc plus de sang que tous les autres organes à l’exception des reins. Comme elle n’est pas protégée du flux sanguin, elle accumule des dépôts de minéraux qui s’attachent aux cristaux qui la constituent.

Ainsi, on constate que chez la plupart des êtres humains l’épiphyse est fortement calcifiée. Tant et si bien qu’elle apparait comme un morceau de calcium lors d’une IRM. Comme l’épiphyse contient des cellules photosensibles (qui perçoivent la lumière et qui déclenchent la production de mélatonine) leur propriété ne peut plus s’exercer avec la calcification.

La sécrétion de mélatonine étant réduite, les effets de la calcification peuvent être la dépression, l’anxiété, la boulimie/anorexie, la schizophrénie et d’autres formes de troubles…

La calcification de l’épiphyse est causée principalement par le fluorure de calcium qui circule dans notre sang. La glande pinéale contient la plus grande concentration de fluorure dans le corps. Le fluorure (tout simplement le fluor) vient essentiellement des dentifrices, de l’eau du robinet et des médicaments psychotropes comme le Prozac, qui contient 30% de fluorure !

« La fluoration de l’eau peut être un suicide national lent ou une liquidation nationale rapide. C’est de la folie criminelle. Une trahison ! » E.H. BRONNER, Ingénieur chimiste, Los Angeles.

La Glande Pinéale, est l’œil relié à l’esprit, celui qui voit tout, sait tout et qui une fois « activé » illumine le corps tout entier !

Ce n’est pas un hasard si les microprocesseurs sont, eux aussi, dotés de cristaux de silice, ou quartz, et sont une copie conforme de la glande pinéale. Il existe pourtant, entre la glande et son imitation, une différence majeure qui rend leurs fonctions totalement opposées : à la base, les cristaux de silice utilisés pour créer les puces informatiques ne sont pas conducteurs. Au contraire, ils s’opposent au passage du courant électrique. Il est alors nécessaire de procéder à ce que l’on appelle en termes scientifiques, le dopage de ces cristaux. Cela revient à y introduire de fines particules de métal conducteur.

Le silicium ainsi dopé ne peut plus résister totalement au passage de l’électricité et devient alors un semi-conducteur. La silice est liée à la lumière. Un beau cristal ressemble à de la lumière condensée. Mais lorsqu’il est soumis au passage de l’électricité, il s’opacifie pour devenir complètement noir.

Or, les scientifiques savent que lorsque deux cristaux de même nature sont mis côte à côte et que l’on dirige des ondes vers l’un d’entre eux, ils entrent automatiquement en résonance. C’est par ce processus de résonance qu’au contact d’un ordinateur, le fonctionnement de notre glande pinéale est radicalement modifié. La sécrétion de mélatonine est altérée après quelques heures seulement passées devant un écran !

Notre support de perception devient de moins en moins opérationnel. Et notre glande pinéale devient aussi sombre que le silicium dopé au passage de l’électricité. Le monde médical en est tout à fait conscient.

Détartrer la glande pinéale ? …

La glande pinéale pourrait être la partie la plus importante de notre système nerveux tout entier. Il s’agit essentiellement d’une antenne spirituelle, notre équivalent physique d’un troisième œil. Elle est essentielle pour atteindre des niveaux plus élevés de conscience tout en restant dans un corps physique. La glande pinéale se trouve au centre géométrique du cerveau. Elle est creuse et rempli d’un fluide contenant des cristaux. D’une manière technique, la glande pinéale ne fait pas partie du cerveau.

La calcification vient aussi perturber la sécrétion de la mélatonine. La mélatonine, souvent dénommée hormone du sommeil, est sécrétée par la glande pinéale en réponse à l’absence de lumière. La mélatonine semble avoir de multiples fonctions, autres qu’hormonales, en particulier comme antioxydant (anti-cancer). Elle semble aussi jouer un rôle dans le système immunitaire. Mais ce processus n’avait-il pas déjà commencé déjà à l’époque du Jurassique ?

« Or, ce fut précisément chez les gigantesques LÉZARDS du secondaire que ce foyer de l’âme commença à s’assombrir. Le système glandulaire, atteignant chez eux toute sa puissance, les avait grandis démesurément. C’était la grande flamme de la lampe qui va s’éteindre : les sauriens gigantesques furent les derniers VOYANTS. Et c’est parce que la profonde lueur primordiale de leur âme s’éteignait que, dans un suprême effort, ils se mirent debout pour voir davantage… Les premières pâleurs de l’aube cérébrale apparaissaient !… l’Œil astral du RÊVE s’éteignait ! »

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