Les nephilims, nefilims (hébreu : הנּפלים) sont des personnages surnaturels de la Bible. Le mot « nephilim » apparaît deux fois dans la Torah – ou Pentateuque – (Gn 6. 4 [archive] et Nb 13. 33 ), où il est souvent traduit par « géants », mais parfois rendu tel quel. C’est la forme plurielle du mot « nephel » ou « nāphîl » en hébreu. Selon les interprétations, le mot « nephilim » pourrait signifier « ceux qui sont tombés », « ceux qui tombent » (anges déchus), ou « ceux qui font tomber » (qui corrompent les âmes des hommes).
« lls » portent divers noms : Shemsou-hor, Maa-khérou, Apkallu, Nephilim, annunaki mais ce sont tous les mêmes de part et d’autres de l’Atlantique : les Atlantes qui suite à la perte de leur ile (l’île des des Bienheureux, Makaron Nésos) débarquèrent par vagues successives il y a plus de 12.000 ans. A suivre dans mon prochain opus « Sur la trace des hommes rouges ». Dès leur arrivée on enregistra le miracle de la révolution du néolithique et des mutations sur les céréales qui furent sans aucun doute les premiers organismes génétiquement modifiés par la main de l’homme.. Les anciens pharaons ne pouvaient pas se mélanger aux autres et devaient pratiquer l’inceste royal, tout simplement parce qu’ils étaient incompatible génétiquement avec les humains ordinaires !
Le passage de la Genèse où ils sont cités laisse entendre qu’ils sont, ou bien les « fils de Dieu », ou bien, selon une lecture plus largement répandue, le fruit de l’union entre « fils de Dieu » et filles des hommes. Ce passage de la Genèse précède l’épisode du Déluge et, si court soit-il, a donné lieu à diverses interprétations, souvent de caractère ésotérique. Les nephilims sont associés, par comparaison, à d’autres géants évoqués dans la Bible. En effet, des « traditions voient en eux une force supérieure aux autres hommes : ce qui correspond au sens dans la Génèse 43,18. Ils sont parfois assimilés aux gibborim, de la racine gabar, qui signifie « fort » », d’où leur assimilation aux géants. Mais est-ce réellemnt un thème mythique et ne correspond-il pas une réalité ultime, celle que nous ne voulons pas voir tant elle heurte notre conception de l’évolution humaine ?
Hippocrate (460-356 avant J.C.) a été le premier à suggérer l’idée que l’élongation du crâne pourrait être un facteur héréditaire et non pas artificiellement crée. Ainsi il consigne que :
« Au début, la déformation était la principale cause de la longueur de leur tête, mais maintenant la nature coopère avec la déformation ».
Une première preuve fut ignorée au 19éme siècle et il semble bien que tous les efforts ne se portèrent que sur les déformations artificielles, uniquement chez ceux qui ont voulu imiter cette ancienne race et ses survivants d’abord, puis le souvenir de cette race disparue par la suite pendant une longue période. On constate en effet par la suite une omerta sur les recherches ne citant pas de bandelettes ou de systèmes avec bois pour expliquer les déformations crâniennes… et on fit disparaître des cranes ou des fœtus ne correspondant pas aux représentations officielles de la doxa officielle, pourtant il reste des preuves :
Comme on va le voir dans le cas de la culture Paracas, mais aussi ailleurs, certains exemples de crânes allongés qui ont été trouvés à travers le monde ne sont ni le résultat d’une déformation congénitale (malformations congénitales), ou une déformation infligée par des pratiques ancestrales, en laissant la solution de côté d’un possible génotype hérité. Quelque chose qui ne cadre pas pour certains anthropologues. Bien sûr, sans un programme de tests d’ADN approprié, il reste impossible de déterminer quels crânes étaient le résultat de la déformation artificielle de ceux qui, le cas échéant, ont eu un trait génétique naturel (tels que les cheveux, la couleur des yeux, etc.). Le manque de tests crédibles dans ce domaine (et la disparition des crânes maltais) a grandement contribué au niveau actuel de malentendus dans ce domaine d’étude.
Dans tout dossier médical il peut y avoir des cas d’exception, mais avec un intérêt particulier ici, c’est le fait que le volume de certains de ces crânes trouvés est de deux fois celui d’un crâne normal, et avec lui une capacité cérébrale accrue, ce qui soulève la question évidente, la seule qui compte à nos yeux : comment est-il possible d’augmenter la capacité du crâne et de cerveau chez un être humain, sauf si elle est causée par le génotype, et quel est l’effet sur l’individu. ?
A propos des cranes trouvés au Pérou, le Dr Tschudi émet son avis, « .. les physiologistes sont sans aucun doute dans l’erreur lorsqu’ils supposent (pour la dolichocéphalie) que cette race péruvienne est exclusivement artificielle. Cette hypothèse repose sur des motifs insuffisants. Ses auteurs ont pu faire leurs observations uniquement sur des crânes d’adultes… Toutefois deux momies d’enfants (analysées en Angleterre)… ont appartenu à la tribu des Aymaraes. Les deux crânes (Tous deux d’enfants vieux d’un an), avaient à tous les égards la même forme que ceux des adultes. Nous avons observé le même fait dans de nombreuses momies d’enfants en bas âge …
Plus encore : la même déformation crânienne est observée chez les enfants à naître, et nous en avons eu la preuve convaincante à la vue d’un fœtus enfermé dans le sein d’une momie de femme enceinte,… celle-ci est dans notre collection. Le fœtus était âgé de 7 mois ! »
Le registre des inspections des crânes maltais suggèrent également qu’il y avait des crânes allongés qui n’ont pas été modifiés artificiellement, mais résultaient d’un élément naturel (une aberration génétique, ou un héritage génétique). On pouvait en déduire que les grands crânes ont aussi une capacité cérébrale plus élevée et cette évidence aurait été le point de départ à de telles pratiques, mais ce constat logique ne répond pas à la question de savoir qui étaient les cônes – les têtes originales, et pourquoi ils ont été imités avec tant de persistance dans le monde antique sur une période aussi longue. Malheureusement, ce sont des questions qui ne peuvent être résolues que par des tests d’ADN comparatifs des crânes allongés à travers le monde, quelque chose qui reste encore à faire et se heurte à des obstructions qui ne sont en rien d’ordre scientifique.
Autre donnée et une autre piste au sujet de la chirurgie antique sur les mêmes crânes et les trépanations : en 1954, un livre péruvien avec de nombreuses photographies montre à quel point les « longues têtes » sont communes dans la région.
Ce livre est, « Las Trepanaciones Craneanas En EI Pert) En La Epoca pré-Hispanica ». Il a été écrit en espagnol par deux professeurs de médecine à l’université de Lima, Peru. Le sujet de ce traité est l’anthropologie médicale de la chirurgie du crâne antique : la trépanation..
En utilisant toute l’imagerie photographique et par rayons X, « Las Trepanaciones » montre comment des trépanations ont été régulièrement pratiquées sur les races « dolicho », et d’autres. La répartition chronologique des spécimens trépanés dont il est question ici, a duré d’environ 1.500 avant JC jusqu’à 1.532 Après JC. Tous donc d’une époque ancienne en comparaison avec sa pratique récente, (qu’est la trépanation). Compte tenu des préoccupations postmodernes avec le projet du génome humain – ce qui précède soulève la question de possibles gènes récessifs dolichocéphales chez les Péruviens d’aujourd’hui. La recherche génétique en Amérique montre que les humains étaient là depuis au moins 20.000 ans. Mais d’où venaient-ils et quel est l’âge exacte de la race dolicho ?.
Dans cette publication datée de 1977, on s’aperçoit que de nombreuses analyses ont été faites sur des cranes péruviens divers (normaux modernes, déformés et normaux antiques) au niveau morphologique (mais on ne savait pas tout sur le sujet à l’époque), démontrant : « Si nos résultats n’ont pas la prétention de s’inscrire contre l’utilisation du point S en analyse radiologiques, il semble incontestable que ce point doit être considéré avec de nettes réserves dans les prévisions de croissance en orthopédie dento-faciale. Ce point fluctue au cours de l’ontogenèse de la même façon que l’angle sphénoïdal lui-même. Les déformations artificielles du crâne ont une répercussion sur la base au même titre que sur les os de la voûte... »
Voici une indication intéressante qui permet de voir dans cette étude une identification possible de cranes déformés naturellement – génétiquement – par rapport à ceux déformés artificiellement.
Sur cet aspect crucial on peut se reporter à Hanzel Bernard. Les fluctuations du point stellaire (point S) et de l’angle sphénoïdal dans les déformations artificielles du crâne. In: Bulletins et Mémoires de la Société d’anthropologie de Paris, XIII° Série. Tome 4 fascicule 4, 1977. pp. 395-412.
Et puis nous avons (enfin) des analyses ADN par le biais de des recherches menées sur les cranes de Paracas.
Paracas est une péninsule désertique située dans la Province de Pisco dans la région de l’Inca, sur la côte sud du Pérou. C’est ici qu’un archéologue péruvien, Julio Tello, a fait une découverte étonnante en 1928 — un cimetière contenant des tombes remplies avec les restes de personnes avec des crânes allongés – une des découvertes les plus complexes et importantes trouvées n’importe où dans le monde.
Les crânes de Paracas.
Au total, Tello a trouvé plus de 300 de ces crânes allongés, qui sont censés remonter à environ 3 000 ans (1000 AV. JC). Une analyse de l’ADN a été réalisée sur l’un des crânes et Brien Foerster, un expert, a publié des informations préliminaires concernant ces crânes énigmatiques.
Il est bien connu que la plupart des cas d’allongement du crâne sont le résultat de la déformation crânienne, technique d’aplatissement de la tête, dont le crâne est délibérément déformé en appliquant une force contraignante sur une longue période de temps. Elle est habituellement réalisée en liant la tête entre deux morceaux de bois. Cependant, alors que la déformation crânienne modifie la forme du crâne, elle n’altère pas son volume, son poids ou autres éléments qui sont caractéristiques d’un crâne humain normal.
Mais les crânes de Paracas sont différents !
Le volume crânien est environ de 25 % plus grand et plus lourd que les crânes humains classiques, ce qui signifie qu’ils ne pourraient ne pas avoir été intentionnellement déformés par le biais de liaison / aplatissement de la tête. Ils contiennent également une seule plaque pariétale, plutôt que deux. Le fait que les caractéristiques de ces crânes ne soient pas le résultat de la déformation crânienne signifie que la cause de l’allongement reste un mystère non élucidé à ce jour.
Juan Navarro, propriétaire et directeur du musée local d’histoire de Paracas, qui abrite une collection de 35 des crânes de Paracas, a autorisé le prélèvement d’échantillons de 5 des crânes. Les échantillons étaient constitués de cheveux, y compris les racines, une dent, des os de crâne et de la peau, et ce processus a été soigneusement documenté par des photos et des vidéos.
Une fois récoltée ces échantillons des cinq crânes ont été envoyés à l’analyse sans en informer les généticiens des sources réelles afin de ne pas interférer avec des idées préconçues. Les résultats de l’analyse de l’ADN de l’un des crânes sont revenus, et Brien Foerster, expert sur les crânes allongés d’Amérique du Sud, a pu dévoiler les résultats préliminaires de l’analyse.
La conclusion est sans appel !
L’ADN mitochondrial présente des mutations inconnues sur n’importe quel homme, primate ou animaux connus à ce jour….
Mais quelques fragments, séquencés de cet échantillon indiquent que si ces mutations ont persisté, nous avons à faire à une nouvelle créature humanoïde, très éloignée de l’Homo sapiens, les Néandertaliens et les Denisovans. Sans doute le résultat d’une hybridation.
Les implications sont évidemment énormes. « Je ne suis pas sûr qu’il rentre même dans l’arbre évolutionnaire connu, » a écrit le généticien. Il a ajouté que si les individus de Paracas étaient si biologiquement différents, ils n’auraient pas pu se croiser avec les humains. Le résultat de cette analyse est la première phase de nombreuses phases d’analyses qui doivent avoir lieu.
Brien Foerster, est un auteur et expert sur les crânes allongés. Il a présenté quelques-unes des recherches les plus spectaculaires sur le sujet et constaté que tandis que la plupart des crânes montrent des signes évidents de la déformation crânienne intentionnelle, il y a néanmoins un pourcentage de crânes – ceux trouvés au Paracas, Pérou – qui sont anatomiquement différents et qui ne peut être expliqué par les pratiques connues d’aplatissement de la tête. Ces crânes ont un volume crânien supérieur d’environ 25 % de plus que des crânes humains classiques (la déformation crânienne n’augmente pas le volume), et qui pèsent 60 % de plus.
Brien Foerster présente d’autres différences : « ils contiennent deux petits trous à l’arrière du crâne, perpendiculaire à la suture crânienne présente dans la plaque pariétale du crâne. Chaque crane humain est composé de 3 grandes plaques osseuses ; la plaque frontale, qui se termine à la partie supérieure du front, et les deux plaques pariétales qui se cachent derrière ça, coupant la plaque frontale en faisant une forme de « T ». Les trous sont naturels ; chaque mâchoire humaine a un petit trou de chaque côté qui est là pour permettre aux nerfs et aux vaisseaux sanguins de sortir et de nourrir des tissus là, ces deux trous à l’arrière du crâne peuvent remplir la même fonction pour le crâne allongé. L’autre facteur est qu’il n’y a qu’une seule plaque pariétale, là où il devrait y en avoir deux » .