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de l'Ordre de l'Annonciade au code de Chambord, études de symbolisme et introduction à l'hermésisme de la Renaissance
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De l’humble et grossière corde à nœuds des franciscains chargés de garder les lieux saints en Palestine, en passant par d’illustres ordres de chevalerie fondés par Anne de Bretagne et Louise de Savoie jusqu’au Roi chevalier, François 1er lui-même, qui fit de la cordelière son chiffre royal, quel parcours que celui de cette cordelière appelée à figurer sur les blasons et autres armoiries royales ! L’auteur retrace cette histoire qui s’étend sur plusieurs siècles, l’occasion de redécouvrir ces ordres de chevalerie prestigieux qui partirent sur la trace des templiers et leur succédèrent. Tous utilisèrent cette cordelière comme motif ou “symbole-schème” de leur engagement séculier. Au final, cette corde fut appelée de façon assez curieuse « lacs d’amour », lacs étant la transposition du vieux mot « lacé » tandis qu’amour fut entendu comme dévotion à une cause supérieure. Mais c’était sans compter sur le grand Léonard de Vinci et ce qu’il avait laissé en héritage au travers du code de Chambord dont nous donnons le message en clair. Sans compter sur la réinterprétation cabalistique qu’en fera le monarque de France. A la lumière de ce code nous entrevoyons de nouveaux sens possible qui pourraient en prolonger l’étude et réactualiser ainsi la portée de son symbolisme. L’étude se termine par une réflexion sur le concept de nœud mystique et le processus qu’il met en œuvre, véritable lemniscate ouvrant sur les portes de l’infini. Puis nous y retrouverons celui de cycle rétrograde et d’inversion sans lequel aucune évolution n’est également envisageable. Bref nous vous ferons passer de l’autre côté du ruban de Mœbius révélant le cordon ombilical d’un nouveau monde entrevu par les grands esprits de la Renaissance qui ont porté cette vision du monde.
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Le « four alchimique de Winterthur » mérite plus qu’un détour car il s’agit d’un véritable « Mutus Liber » don’t l’iconographie de faïence nous délivre de façon didactique le message du Grand Œuvre, mais lequel ?
Celui de l’Adepte ou celui de l’humanité engagée dans son cycle final dans l’attente de l’Apocalypse ?
Celui de l’Adepte ou celui de l’humanité engagée dans son cycle final dans l’attente de l’Apocalypse ?
La Pierre cubique est placée dans le temple au pied des marches de l’Orient, au Midi, donc dans l’espace de manifestation
Avec un traité inédit de Papus La date de composition de ce livre est incertaine et pourrait remonter au II ou au IIIème siècle après J-C.
On l’attribue à l’école valentinienne sinon à Valentin lui-même.
Cependant on y trouve agrégé d’autres éléments issus de différentes doctrines gnostiques de l’époque : Ophites, Séthiens, Barbéliotes etc ...
Le cadre du récit est un dialogue entre le Christ et ses disciples.
LES RACINE VEDIQUE DU CHRISTIANISME Une introduction à la Tradition Primordiale L'étude du Graal donne en abrégé la théorie fondamentale des cinq grandes religions âryennes.
Ces religions, qui ont rayonné vers l'Orient et vers l'Occident, sont issues d'une doctrine primitive élaborée au centre de l'Asie, héritée des régions subarctiques de la période d’avant la dernière glaciation.
Dans cette génération des croyances on distingue deux périodes successives. La période ancienne comprend : au sud-est la religion vêdique, devenue plus tard le brâhmanisme, au sud-ouest la religion perse ou mazdéenne qui existe encore malgré les invasions arabes; à l'ouest le polythéisme gréco-latin qui a disparu.
Nous connaissons les différentes versions de la quête du Graal au travers des continuations allant de Chrétien de Troyes à Albrecht von Scharfenberg mais il restait à découvrir l’empreinte laissée – Imago - par cette légende jusqu’à nos jours et de quelle façon celle-ci fut sauvegardée au sein des rituels et enseignements maçonniques qu’il convient de relire sous ce nouvel éclairage.
Avec un essai de Johan Dreue : totémisme des aborigènes, des amérindiens et des égyptiens ;
les processus d’hominisation « Au début du 20 ème siècle, Lotus de Païni fut une Chercheuse de Vérité exceptionnelle. Aventurière et exploratrice elle le fut : Géographiquement dans ses nombreux voyages sur les terres les plus sacrées : Kashmir, Inde, Egypte et quelques autres...
Spirituellement par l’extraordinaire enquête menée (intuitivement et poétiquement pour l’essentiel) sur la genèse de l’humain, sur la naissance de la Conscience, sur l’univers spirituel de nos plus lointains ancêtres.
Le Quaternaire est l'époque la plus récente de l'histoire de la terre puisqu’il occupa les dernières 2,6 millions d'années. C’est aussi celle qui vit l’humanité accéder à sa pleine dimension. Les cycles de période glaciaire/interglaciaire répétées, qui ont fortement influencé le processus d’hominisation ont aussi formé sa perception du monde.
Proclus, appelle « Atlantins » ceux visés par le Timée et les distingue, par-là, des « Atlantes Ethiopiens ».
Or, quand ils parlent de ces derniers, Hérodote et Pline, disent, qu’ils descendraient des « Atlantides ».
On voit, ainsi, que les Pré-dynastiques d’Egypte - ou les anciens Ethiopiens - dénommés « Atlantes », descendaient de l’Atlantide.
C’est en effet, par l’Atlantide que, pendant plus de 20 millénaires, avait passé la voie des migrations par l’Ouest qui, partie de l’Est de l’île proche des côtes africaines, puis traversant la mer gagnait Abydos, puis la Nubie (Méroe), par le cap Soloëis (cap Juby) et les Oasis actuel.
LE MYTHE D’ERMÈS Pierre Gordon avec un complément de Johan Dreue sur Hermès à la lumière de la Tradition Primordiale
Le mythe d’Hermès de Pierre Gordon est sans aucun doute l’inventaire le plus complet réalisé à ce jour sur ce dieu mercuriel qui fut aussi le seul à bénéficier d’une nouvelle actualité à la Renaissance puisqu’elle en fit le porteur d’une révélation eschatologique sous son nouveau label de Trismégiste.
Il se pourrait que cette révélation demande une nouvelle exégèse à la lumière de récentes découvertes.
Le monastère franciscain de Cimiez, situé à Nice, reçut au début du XXè siècle, la visite d'un adolescent de dix-huit ans accompagné de son maître.
En effet, en 1917, Eugène Canseliet et son aîné Fulcanelli se rendirent à Cimiez.
Quarante ans plus tard, devenu le personnage que l'on connaît, il donna l'interprétation hermétique de plusieurs peintures décorant la sacristie, et les corridors du premier étage, là où sont situées les cellules des frères.
Beau livre avec de nombreuses illustrations en couleurs. 220 pages.
Pendant longtemps ce tableau, autrefois exposé dans l’église St Maurice de Reims non loin de l’abbaye St Rémi, résista aux interprétations par le foisonnement de son symbolisme polymorphe et reçu diverses dénominations dont celui de « Vierge Alchimique de Reims ».
Le premier à en avoir effectué une analyse un peu poussé fut l’hermétiste Oswald Wirth mais celle-ci relève d’avantage de l’inventaire que de l’iconologie.
VOIES INITIATIQUES DU TAROT
La suite et le complément du premier volume « 21 pas dans lau-delà ou les sources du Tarot à la lumière des mystères de l’Antiquité et du livre des morts égyptien »
Après l’étude ponctuelle des 22 arcanes aux vues des matériaux historiques, il était logique d’en saisir cette fois l’enchainement et celui-ci ne peut se faire qu’à la lumière des rituels initiatique pratiqués dans I’Egypte pharaonique.
On y découvrira sans surprise que ceux-ci faisaient l’objet d’une grande triade répartie entre l’initiation Isiaque (anima), Osirienne (individuation) et Horuenne(animus).
En Écosse, le Mot de Maçon fait parler de lui dès la fin 1637.
En effet, John Stewart, premier comte de Traquair, est alors accusé de posséder ce mot. Nous le trouvons ensuite, en 1638, dans un poème de Henry Adamson, The muses Threnodie en référence avec les frères de la Rose-Croix.
Ce mot est également associé à un don de double vue permettant la prophétie.
En 1987, Richard Elliott Friedman, professeur d’hébreu et de théologie comparative à l’Université de Californie, exprima un point de vue partagé par nombre de savants, en qualifiant la disparition de la relique sacrée de mystère majeur de la Bible : « Personne ne sait où elle est aujourd’hui.
L’objet le plus important du monde, du point de vue de la Bible, a simplement cessé de faire partie de l’histoire. ».
Dans les premiers temps décrits par l’Ancien Testament, l’Arche d’Alliance était adorée par les Hébreux comme l’incarnation de Dieu lui-même, comme le signe et le sceau de Sa présence sur la Terre, comme la marque de Sa puissance et l’instrument de Son ineffable volonté.
De façon unanime et concordante les différentes traditions réparties à la surface du globe ont fait état d’un âge d’Or suivi d’un cataclysme.
Les récits se recoupent tous autour d’un évènement cataclysmique s’étant produit entre 8 à - 12.000 ans avant JC qui correspond aussi avec la fin de la dernière glaciation de Wurm.
Il y eut au pléistocène d’importants bouleversements du climat, froid et rude durant la période glaciaire, puis doux et tempéré pendant l’interglaciaire, jusque dans les régions polaires.
Aujourd’hui on a des preuves suffisantes pour montrer que les régions arctiques d’Asie et d’Europe étaient caractérisées à la période interglaciaire par des étés frais et des hivers doux, équivalent à un perpétuel printemps ;
Nouvelles lumières sur les origines de la Franc-maçonnerie écossaise
Et si ? .. et s’il fallait tout revoir ? En effet la Franc-maçonnerie est de part en part écossaise mais pourquoi a t’elle vue le jour dans ces lointaines terres qui semblaient loin des grands carrefours de la civilisation ?