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Le mythe d’Hermès
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LE MYTHE D’ERMÈS Pierre Gordon avec un complément de Johan Dreue sur Hermès à la lumière de la Tradition Primordiale
Le mythe d’Hermès de Pierre Gordon est sans aucun doute l’inventaire le plus complet réalisé à ce jour sur ce dieu mercuriel qui fut aussi le seul à bénéficier d’une nouvelle actualité à la Renaissance puisqu’elle en fit le porteur d’une révélation eschatologique sous son nouveau label de Trismégiste.
Il se pourrait que cette révélation demande une nouvelle exégèse à la lumière de récentes découvertes.
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LE MYTHE D’ERMÈS Pierre Gordon avec un complément de Johan Dreue sur Hermès à la lumière de la Tradition Primordiale
Le mythe d’Hermès de Pierre Gordon est sans aucun doute l’inventaire le plus complet réalisé à ce jour sur ce dieu mercuriel qui fut aussi le seul à bénéficier d’une nouvelle actualité à la Renaissance puisqu’elle en fit le porteur d’une révélation eschatologique sous son nouveau label de Trismégiste.
Il se pourrait que cette révélation demande une nouvelle exégèse à la lumière de récentes découvertes.
Les Grecs semblent attribuer à Hermès un ensemble de rôles relativement divers, il est le génie, le patron d’aspects, d’éléments, de sentiments différents. Fils de Zeus et de Maïa, il est donc le frère d’Athéna et d’Apollon, jouant souvent de mauvais tours à ce dernier.
Il est tour à tour le voleur, le coureur agile, l’astucieux, l’inventif, l’habile artisan, mais aussi celui qui inaugura les Pyreïa qui allument le feu et l’initiateur du sacrifice.
Homère en fit l’inventeur de la lyre à sept cordes.
Souvent accompagné des Muses ou des Nymphes, dès Pindare il est le patron des éphèbes et de la jeunesse des gymnases.
N’oublions pas qu’Hermès est aussi « médecine man », et connaît les vertus de l’incantation pour guérir les maladies.
Enfin, depuis toujours, Hermès est considéré comme le messager des dieux, et par là même aussi l’interprète des dieux.
Dans le Cratyle, Platon fait dériver le nom du dieu de herméneus « interprète ».
Les caractères d’interprète, de messager, d’adroit voleur, de trompeur en paroles et d’habile marchand, c’est au pouvoir du discours que se rattache toute cette activité « .
C’est donc un dieu de feu et de parole en mouvement correspondant à la triade indo-européenne mise en lumière par Georges Dumézil mais c’est surtout comme nous le dégageons dans la seconde partie un reliquat de la Tradition Primordiale.
Fiche technique
- Editeur :
- Lux in Arcana
- Nombre de pages :
- 261
- Langue :
- Français
- CODE ISBN:
- 9791094592236
- Poids
- 400 g
- Auteur
- Johan Dreue
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LES RACINE VEDIQUE DU CHRISTIANISME Une introduction à la Tradition Primordiale L'étude du Graal donne en abrégé la théorie fondamentale des cinq grandes religions âryennes.
Ces religions, qui ont rayonné vers l'Orient et vers l'Occident, sont issues d'une doctrine primitive élaborée au centre de l'Asie, héritée des régions subarctiques de la période d’avant la dernière glaciation.
Dans cette génération des croyances on distingue deux périodes successives. La période ancienne comprend : au sud-est la religion vêdique, devenue plus tard le brâhmanisme, au sud-ouest la religion perse ou mazdéenne qui existe encore malgré les invasions arabes; à l'ouest le polythéisme gréco-latin qui a disparu.
XXI PAS DANS L’AU DELA - LE TAROT ET SES SOURCES A LA LUMIÈRE DU LIVRE DES MORTS EGYPTIEN
Au commencement était l’Egypte, Mère de tous les mystères.
Elle reçut la révélation sur l’âme, sa lumière, sa nature, ses facultés, son origine divine et son devenir. Cette révélation elle l’a traduite en mythes et consignée dans le Livre des morts ainsi appelé car emmené par le défunt dans sa tombe en vue d’accomplir l’ultime voyage.
Le « four alchimique de Winterthur » mérite plus qu’un détour car il s’agit d’un véritable « Mutus Liber » don’t l’iconographie de faïence nous délivre de façon didactique le message du Grand Œuvre, mais lequel ?
Celui de l’Adepte ou celui de l’humanité engagée dans son cycle final dans l’attente de l’Apocalypse ?
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Ils furent nombreux à l’avoir connu et à avoir témoigné de leur vivant au travers de leurs œuvres.
Ce livre vous permettra de faire connaissance avec l’entourage artistique, littéraire et politique de l’adepte.
Le théâtre d’ombres prend vie mais qui tire les ficelles ? Quelle est cette « haute et secrète diplomatie » évoquée par l’auteur du Mystère des Cathédrales ?
Voilà bien de nombreuses questions auxquelles nous apportons des éléments de réponse et de nombreuses révélations. Nouvelle édition augmentée
VOIES INITIATIQUES DU TAROT
La suite et le complément du premier volume « 21 pas dans lau-delà ou les sources du Tarot à la lumière des mystères de l’Antiquité et du livre des morts égyptien »
Après l’étude ponctuelle des 22 arcanes aux vues des matériaux historiques, il était logique d’en saisir cette fois l’enchainement et celui-ci ne peut se faire qu’à la lumière des rituels initiatique pratiqués dans I’Egypte pharaonique.
On y découvrira sans surprise que ceux-ci faisaient l’objet d’une grande triade répartie entre l’initiation Isiaque (anima), Osirienne (individuation) et Horuenne(animus).
Avec un essai de Johan Dreue : totémisme des aborigènes, des amérindiens et des égyptiens ;
les processus d’hominisation « Au début du 20 ème siècle, Lotus de Païni fut une Chercheuse de Vérité exceptionnelle. Aventurière et exploratrice elle le fut : Géographiquement dans ses nombreux voyages sur les terres les plus sacrées : Kashmir, Inde, Egypte et quelques autres...
Spirituellement par l’extraordinaire enquête menée (intuitivement et poétiquement pour l’essentiel) sur la genèse de l’humain, sur la naissance de la Conscience, sur l’univers spirituel de nos plus lointains ancêtres.
En 1987, Richard Elliott Friedman, professeur d’hébreu et de théologie comparative à l’Université de Californie, exprima un point de vue partagé par nombre de savants, en qualifiant la disparition de la relique sacrée de mystère majeur de la Bible : « Personne ne sait où elle est aujourd’hui.
L’objet le plus important du monde, du point de vue de la Bible, a simplement cessé de faire partie de l’histoire. ».
Dans les premiers temps décrits par l’Ancien Testament, l’Arche d’Alliance était adorée par les Hébreux comme l’incarnation de Dieu lui-même, comme le signe et le sceau de Sa présence sur la Terre, comme la marque de Sa puissance et l’instrument de Son ineffable volonté.
Il y a un siècle s’achevait la réalisation de l’un des édifices les plus remarquables à la fois par sa spiritualité et son symbolisme. Tout ce que la France de l’époque a compté comme noms célèbres de l’ésotérisme s’y est rendu : René Guénon, Schwaller de Lubicz, Oswald Wirth, Milosz ...
Nous connaissons les différentes versions de la quête du Graal au travers des continuations allant de Chrétien de Troyes à Albrecht von Scharfenberg mais il restait à découvrir l’empreinte laissée – Imago - par cette légende jusqu’à nos jours et de quelle façon celle-ci fut sauvegardée au sein des rituels et enseignements maçonniques qu’il convient de relire sous ce nouvel éclairage.
Beau livre avec de nombreuses illustrations en couleurs. 220 pages.
Pendant longtemps ce tableau, autrefois exposé dans l’église St Maurice de Reims non loin de l’abbaye St Rémi, résista aux interprétations par le foisonnement de son symbolisme polymorphe et reçu diverses dénominations dont celui de « Vierge Alchimique de Reims ».
Le premier à en avoir effectué une analyse un peu poussé fut l’hermétiste Oswald Wirth mais celle-ci relève d’avantage de l’inventaire que de l’iconologie.
L’ATLANTIDE EN HÉRITAGE Ni mythe, ni légende, l’Atlantide pourtant continue de hanter nos mémoires et nous ressentons le fait qu’elle appartient au domaine d’un réel aboli mais que nous n’avons de cesse de ressusciter.
C’est ce que nous faisons dans ce travail où nous reconstituons à partir de fragments épars la vaste fresque de ce que fut l’origine de notre civilisation à partir du legs reçu en héritage : legs biologique du Cro-Magnon, legs linguistique conservé dans la toponymie, legs des traditions et aussi legs géologique.
Proclus, appelle « Atlantins » ceux visés par le Timée et les distingue, par-là, des « Atlantes Ethiopiens ».
Or, quand ils parlent de ces derniers, Hérodote et Pline, disent, qu’ils descendraient des « Atlantides ».
On voit, ainsi, que les Pré-dynastiques d’Egypte - ou les anciens Ethiopiens - dénommés « Atlantes », descendaient de l’Atlantide.
C’est en effet, par l’Atlantide que, pendant plus de 20 millénaires, avait passé la voie des migrations par l’Ouest qui, partie de l’Est de l’île proche des côtes africaines, puis traversant la mer gagnait Abydos, puis la Nubie (Méroe), par le cap Soloëis (cap Juby) et les Oasis actuel.
Le monastère franciscain de Cimiez, situé à Nice, reçut au début du XXè siècle, la visite d'un adolescent de dix-huit ans accompagné de son maître.
En effet, en 1917, Eugène Canseliet et son aîné Fulcanelli se rendirent à Cimiez.
Quarante ans plus tard, devenu le personnage que l'on connaît, il donna l'interprétation hermétique de plusieurs peintures décorant la sacristie, et les corridors du premier étage, là où sont situées les cellules des frères.
Avec un traité inédit de Papus La date de composition de ce livre est incertaine et pourrait remonter au II ou au IIIème siècle après J-C.
On l’attribue à l’école valentinienne sinon à Valentin lui-même.
Cependant on y trouve agrégé d’autres éléments issus de différentes doctrines gnostiques de l’époque : Ophites, Séthiens, Barbéliotes etc ...
Le cadre du récit est un dialogue entre le Christ et ses disciples.
En Écosse, le Mot de Maçon fait parler de lui dès la fin 1637.
En effet, John Stewart, premier comte de Traquair, est alors accusé de posséder ce mot. Nous le trouvons ensuite, en 1638, dans un poème de Henry Adamson, The muses Threnodie en référence avec les frères de la Rose-Croix.
Ce mot est également associé à un don de double vue permettant la prophétie.
Ce singulier ouvrage jugé inclassable a été publié en 1892 sous le pseudonyme de JACOB. Derrière la figure tutélaire du patriarche ayant lutté avec l’ange jusqu’à l’aube avant de devenir Israël, se cache en réalité tout le drame d’une vie d’errance au service de l’Evangile.
S’il en a assuré la préface, Henry Dunant, philanthrope, prophète de la Paix des Nations et fondateur de la Croix Rouge déborde largement sa préface et imprègne l’ouvrage de part en part.
Ce dernier fut attribué, faute de paternité, à Jean-Jacques Bourcart qui en fut assurément l’éditeur.