
Le 4 ème vase ou les racines védiques du Graal
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LES RACINE VEDIQUE DU CHRISTIANISME Une introduction à la Tradition Primordiale L'étude du Graal donne en abrégé la théorie fondamentale des cinq grandes religions âryennes.
Ces religions, qui ont rayonné vers l'Orient et vers l'Occident, sont issues d'une doctrine primitive élaborée au centre de l'Asie, héritée des régions subarctiques de la période d’avant la dernière glaciation.
Dans cette génération des croyances on distingue deux périodes successives. La période ancienne comprend : au sud-est la religion vêdique, devenue plus tard le brâhmanisme, au sud-ouest la religion perse ou mazdéenne qui existe encore malgré les invasions arabes; à l'ouest le polythéisme gréco-latin qui a disparu.
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LES RACINE VEDIQUE DU CHRISTIANISME Une introduction à la Tradition Primordiale L'étude du Graal donne en abrégé la théorie fondamentale des cinq grandes religions âryennes.
Ces religions, qui ont rayonné vers l'Orient et vers l'Occident, sont issues d'une doctrine primitive élaborée au centre de l'Asie, héritée des régions subarctiques de la période d’avant la dernière glaciation.
Dans cette génération des croyances on distingue deux périodes successives. La période ancienne comprend : au sud-est la religion vêdique, devenue plus tard le brâhmanisme, au sud-ouest la religion perse ou mazdéenne qui existe encore malgré les invasions arabes; à l'ouest le polythéisme gréco-latin qui a disparu.
A cette période on peut rattacher les vieilles traditions polythéistes du Nord et de l'extrême ouest de l'Europe. La période moderne comprend le bouddhisme et le christianisme.
Ces deux religions étaient à l'origine presque identiques, de sorte que le Christ fut le Bouddha de l'occident, comme le Bouddha avait été un Christ oriental et anticipé. Seulement l'un parut en pleine civilisation brâhmanique, l'autre en pleine civilisation gréco-romaine.
Dans sa marche vers l'occident la doctrine du Bouddha se modifia sous l'influence mazdéenne et produisit les Esséniens, établis au centre du monde sémitique, à l'orient de la Méditerranée.
Quand la doctrine essénienne sortit des communautés de la Galilée et de l'Egypte et se répandit dans les pays grecs et latins, elle lutta d'une part contre les dieux païens, et subit d'autre part l'action du monothéisme sémitique.
De là est né le christianisme définitif des conciles dont le Dieu est tout autre que le principe impersonnel des Bouddhistes.
L’étude du Graal permet de découvrir la théorie ésotérique qui n'a cessé d'animer les cinq grandes religions âryennes. Cette théorie, qui dans les églises chrétiennes était transmise sous le nom de doctrine secrète, disciplina secreti, est celle du Feu, force universelle désignée sous des noms divers, au fond toujours la même mais s'énonçant par des formules et des figures identiques.
C'est cette théorie que nous mettons en lumière dans la présente étude au moyen de textes fournis par le Vêda et l'Avesta, par les auteurs grecs, par les livres liturgiques de l'Eglise chrétienne. 24 € 225 pages
Fiche technique
- Editeur :
- Lux in Arcana
- Nombre de pages :
- 225
- Langue :
- Français
- CODE ISBN:
- 979-1094592267
- Poids
- 400 g
- Auteur
- Johan Dreue
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les processus d’hominisation « Au début du 20 ème siècle, Lotus de Païni fut une Chercheuse de Vérité exceptionnelle. Aventurière et exploratrice elle le fut : Géographiquement dans ses nombreux voyages sur les terres les plus sacrées : Kashmir, Inde, Egypte et quelques autres...
Spirituellement par l’extraordinaire enquête menée (intuitivement et poétiquement pour l’essentiel) sur la genèse de l’humain, sur la naissance de la Conscience, sur l’univers spirituel de nos plus lointains ancêtres.
Proclus, appelle « Atlantins » ceux visés par le Timée et les distingue, par-là, des « Atlantes Ethiopiens ».
Or, quand ils parlent de ces derniers, Hérodote et Pline, disent, qu’ils descendraient des « Atlantides ».
On voit, ainsi, que les Pré-dynastiques d’Egypte - ou les anciens Ethiopiens - dénommés « Atlantes », descendaient de l’Atlantide.
C’est en effet, par l’Atlantide que, pendant plus de 20 millénaires, avait passé la voie des migrations par l’Ouest qui, partie de l’Est de l’île proche des côtes africaines, puis traversant la mer gagnait Abydos, puis la Nubie (Méroe), par le cap Soloëis (cap Juby) et les Oasis actuel.
Le « four alchimique de Winterthur » mérite plus qu’un détour car il s’agit d’un véritable « Mutus Liber » don’t l’iconographie de faïence nous délivre de façon didactique le message du Grand Œuvre, mais lequel ?
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La Pierre cubique est placée dans le temple au pied des marches de l’Orient, au Midi, donc dans l’espace de manifestation
En 1987, Richard Elliott Friedman, professeur d’hébreu et de théologie comparative à l’Université de Californie, exprima un point de vue partagé par nombre de savants, en qualifiant la disparition de la relique sacrée de mystère majeur de la Bible : « Personne ne sait où elle est aujourd’hui.
L’objet le plus important du monde, du point de vue de la Bible, a simplement cessé de faire partie de l’histoire. ».
Dans les premiers temps décrits par l’Ancien Testament, l’Arche d’Alliance était adorée par les Hébreux comme l’incarnation de Dieu lui-même, comme le signe et le sceau de Sa présence sur la Terre, comme la marque de Sa puissance et l’instrument de Son ineffable volonté.
Beau livre avec de nombreuses illustrations en couleurs. 220 pages.
Pendant longtemps ce tableau, autrefois exposé dans l’église St Maurice de Reims non loin de l’abbaye St Rémi, résista aux interprétations par le foisonnement de son symbolisme polymorphe et reçu diverses dénominations dont celui de « Vierge Alchimique de Reims ».
Le premier à en avoir effectué une analyse un peu poussé fut l’hermétiste Oswald Wirth mais celle-ci relève d’avantage de l’inventaire que de l’iconologie.
En Écosse, le Mot de Maçon fait parler de lui dès la fin 1637.
En effet, John Stewart, premier comte de Traquair, est alors accusé de posséder ce mot. Nous le trouvons ensuite, en 1638, dans un poème de Henry Adamson, The muses Threnodie en référence avec les frères de la Rose-Croix.
Ce mot est également associé à un don de double vue permettant la prophétie.
L’ATLANTIDE EN HÉRITAGE Ni mythe, ni légende, l’Atlantide pourtant continue de hanter nos mémoires et nous ressentons le fait qu’elle appartient au domaine d’un réel aboli mais que nous n’avons de cesse de ressusciter.
C’est ce que nous faisons dans ce travail où nous reconstituons à partir de fragments épars la vaste fresque de ce que fut l’origine de notre civilisation à partir du legs reçu en héritage : legs biologique du Cro-Magnon, legs linguistique conservé dans la toponymie, legs des traditions et aussi legs géologique.
Avec un traité inédit de Papus La date de composition de ce livre est incertaine et pourrait remonter au II ou au IIIème siècle après J-C.
On l’attribue à l’école valentinienne sinon à Valentin lui-même.
Cependant on y trouve agrégé d’autres éléments issus de différentes doctrines gnostiques de l’époque : Ophites, Séthiens, Barbéliotes etc ...
Le cadre du récit est un dialogue entre le Christ et ses disciples.
VOIES INITIATIQUES DU TAROT
La suite et le complément du premier volume « 21 pas dans lau-delà ou les sources du Tarot à la lumière des mystères de l’Antiquité et du livre des morts égyptien »
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On y découvrira sans surprise que ceux-ci faisaient l’objet d’une grande triade répartie entre l’initiation Isiaque (anima), Osirienne (individuation) et Horuenne(animus).
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Ce singulier ouvrage jugé inclassable a été publié en 1892 sous le pseudonyme de JACOB. Derrière la figure tutélaire du patriarche ayant lutté avec l’ange jusqu’à l’aube avant de devenir Israël, se cache en réalité tout le drame d’une vie d’errance au service de l’Evangile.
S’il en a assuré la préface, Henry Dunant, philanthrope, prophète de la Paix des Nations et fondateur de la Croix Rouge déborde largement sa préface et imprègne l’ouvrage de part en part.
Ce dernier fut attribué, faute de paternité, à Jean-Jacques Bourcart qui en fut assurément l’éditeur.
Il y a un siècle s’achevait la réalisation de l’un des édifices les plus remarquables à la fois par sa spiritualité et son symbolisme. Tout ce que la France de l’époque a compté comme noms célèbres de l’ésotérisme s’y est rendu : René Guénon, Schwaller de Lubicz, Oswald Wirth, Milosz ...
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En effet, en 1917, Eugène Canseliet et son aîné Fulcanelli se rendirent à Cimiez.
Quarante ans plus tard, devenu le personnage que l'on connaît, il donna l'interprétation hermétique de plusieurs peintures décorant la sacristie, et les corridors du premier étage, là où sont situées les cellules des frères.